Madjid - Troisième Partie : JAppris À Mon Amant, Le Candaulisme De Mon Mari
Même après deux orgasmes daffilée avec deux grosses éjaculations, montrant à quel point il avait été sevré de baise pendant longtemps mon jeune amant avait encore la bite vigoureuse. Il bandait presque aussi fort quavant quil ne mait baisée par la bouche et par la chatte. Dans ma tête, avec mon vocabulaire ordurier et dans ma langue maternelle, je me disais avec une jubilation non cachée, que mon nouvel amant avait un zob en acier (3andou zeb ahdid !). Toujours vaillant et toujours partant pour une nouvelle partie de pilonnage dun de mes trous ! Jen tremblais presque dexcitation. Je venais pourtant de subir à peine quelques minutes plutôt les furieux assauts de mon jeune amant dans ma chatte. Et jen avais eu une jouissance formidable. De ces jouissances qui donnent le vertige, vous font perdre la raison et vous mènent au bord de la perte de connaissance. Et jen voulais encore !
Depuis que Salim, mon mari, mavait ouvert la route de la sexualité adultérine, jétais devenue complètement accro au sexe. Une vraie nymphomane. Avec une parfaite mauvaise foi et pour me rassurer moi-même, je me disais que jétais simplement entrain de rattr le temps perdu : je ne métais en effet découverte cette passion pour le sexe pluriel que sur le tard. A plus de trente-cinq ans et après une dizaine dannée de mariage, certes heureux, mais en définitive assez terne, érotiquement parlant. Et aujourdhui, javais la chance davoir trouvé un fantastique amant, qui, parce quencore très jeune, avait une très grande marge de progression. Je savais dinstinct, que si jarrivais à le garder, jallais vivre avec lui des moments passionnants damour torride. Il me fallait seulement le convaincre de nous rejoindre, mon mari et moi, dans notre monde, certes immoral, mais tellement jouissif.
Mais je me disais que ce nétait pas encore le moment daborder ce sujet avec lui. Cétait le moment de vivre encore des instants intenses dérotisme débridé, sur lesquels, je savais quil nallait émettre aucune objection.
Madjid, quand je lui fis part avec mon vocabulaire impudique et ordurier (« bghit te-dekhel houli melour ! Je veux que tu me le mettes par derrière ! ») - de mon désir de sodomie, je vis son sourire sélargir et le coin droit de sa lèvre supérieure se mettre à frémir, sans quil puisse rien faire pour arrêter le tic. Ses yeux brillaient de mille feux, comme si la simple pensée de menculer le mettait dans un état de jubilation extrême. (Jappris par la suite que les seules fois où il avait fait lamour à sa fiancée de lépoque, cétait en lenculant pour garder intact son hymen, condition indispensable pour sa nuit de noce. Et il avait toujours adoré.) Il choisit de me prendre en position de levrette. Et par terre !
Je ne sais pas trop pourquoi la plupart de mes amants préférait, quand ils menculaient, le faire à même le sol. Ils semblaient en tirer encore plus de plaisir que sur un lit ou un fauteuil, pourtant beaucoup plus confortables. Peut-être que linconfort de la position pour eux comme pour moi ajoutait une dose supplémentaire à leur excitation et à la jouissance extrême quelle entraînait.
Il mattrapa donc par les mains, me fit lever du fauteuil, me retourna pour se mettre derrière moi et mobligea, par une forte pression de ses bras, à me mettre à genoux, puis à quatre pattes. Je me laissai faire sans opposer aucune résistance. Jai toujours adoré ces moments dattente qui étaient pour moi les meilleures prémices érotiques. Je jubilais en attendant de sentir lhomme - que je ne pouvais voir - mattr fermement par la taille ou par les hanches, disposer mon fessier à la bonne hauteur, prendre son manche dans sa main droite et poser son gland à lentrée. Jadorais imaginer le regard brillant de concupiscence de mon amant entrain de contempler lanneau palpitant et encore bien serré de mon anus, qui avait gardé toute son élasticité, bien que fortement distendu par tous les gros zobs quil avait reçus. Il y avait toujours en moi, en ces moments-là, une immense jubilation et mon cur battait tellement fort que javais limpression quil ne supportera pas lintensité du plaisir que jallais prendre ; et quil allait sarrêter.
Et quand je sentais mon homme tirer très fort sur ses bras et que lengin, dont le gland attendait à lentrée de mon orifice, pénétrait en force dans mon tunnel, je poussai toujours un énorme cri de plaisir (et parfois de douleur, quand le manche avait des dimensions exceptionnelles). Cétait exactement ce qui était entrain de se passer avec mon jeune amant. Il se comporta comme quelquun qui avait déjà une grande expérience de la sodomie. Il y alla en force, mais sans se presser. La première pénétration du manche se fit en puissance. Il tira très fort sur ses bras et poussa son bassin vers lavant ; et sa queue, qui était aussi dure que du bois, alla rapidement et sans escales, jusquau plus profond de mon rectum.
Puis il fit faire à sa queue le chemin inverse, jusquà sortir complètement et sarrêter à quelque centimètres de mon anus. Et là encore, il prenait son temps, pour mater le spectacle que faisait mon anneau qui se refermait et de son zob qui frémissait dimpatience de repartir à lassaut. Au bout de deux ou trois secondes, il reprenait le chemin de lintérieur avec la même puissance et la même vigueur. Et à chaque fois, je poussais un énorme cri de plaisir et je lui demandais dy aller encore plus fort et plus vite.
- Zid ! Zid nik-ni hakdhek ! Bel-qouwa! Bi koul qouwat zebek! Adjbed! Adjbed ga3ret Warda! (Encore! Nique-moi encore comme ça ! En puissance ! Avec toute la puissance de ton zob ! Tire ! Tire le cul de Warda !)
Madjid, tout à son affaire, ne disait rien. Il se contentait de gémir de plaisir à chaque pénétration et de tirer toujours plus fort sur ses bras. Je sentais son manche ramoner avec furie mon tunnel et y mettre le feu. Il limait avec jubilation les parois de mon cul. Le zob de mon amant était gros et surtout très long. Il avait la taille idéale pour moi. Mon sphincter se refermait sur sa hampe à la manière dune main très douce qui lattrapait et qui ne voulait plus le lâcher. Je prenais autant de plaisir que lui, à me faire enculer ainsi. En force et en faisant durer le plaisir. Madjid ne semblait pas pressé de jouir. Il avait eu son compte, les deux fois précédentes. Maintenant il prenait son temps pour goûter, tel un gourmet, à cette sensation jubilatoire dun cul fait sur mesure pour lui et offert à son manche, sans restriction aucune.
Ce fut moi qui céda la première en lui demandant (ordonnant serait le mot plus juste) daccélérer le rythme de son pilonnage parce que javais envie de jouir.
- Zid fe-sour3a ! Zid! Hakdha! Feragh fi ga3ri! En-hass rahi djaya! Rahi djaya ! Djaya ! Djay
. ! (Plus vite ! Encore ! Comme ça ! Décharge dans mon cul ! Je sens que je vais jouir ! Elle vient ! Elle vient ! Elle vie
. !)
Je ne pus continuer ma phrase. Un énorme orgasme, aussi fort que celui que jeus tantôt quand Madjid mavait baisée par devant peut-être même plus fort, me dis-je sur le moment dévala en moi et me fit hurler de plaisir. Le plaisir sétait installé dans mon rectum, sous forme dondes concentriques qui irradiaient jusque dans ma colonne vertébrale pour aller sinstaller dans mon cerveau. Cela me procurait une sensation de totale béatitude. Cétait divin ! Ma chatte, pourtant épargnée par mon amant qui ne soccupait que de mon cul, était tellement excitée, quelle coulait comme une fontaine, ajoutant une forte dose à lintensité du plaisir qui menvahissait. Je ne contrôlais plus rien : ma tête partait dans tous les sens comme si rien ne pouvait la retenir. Ma bouche coulait abondamment de salive, qui allait sétaler sur le carrelage du salon; ma respiration devenait de plus en plus haletante et memmenait irrémédiablement vers l. Je me sentais entraînée vers un gouffre au fond duquel mattendait la mort. Tuée par le plaisir ! Quelle belle mort ! Cétait magnifique et tellement bon ! Je suivais le cheminement de lorgasme qui dévalait en moi, et qui, jen étais maintenant sûre, allait me de plaisir !
- Djaya ! Djaya ! Dj
! (Je jouis ! Je jouis ! Je jou
!)
Et je déchargeai, en hurlant, une quantité phénoménale de cyprine. Tous mes muscles, qui étaient tendus comme les cordes dun arc, se relâchèrent. Nétaient les bras puissants de mon amant et ses mains qui me tenaient fermement par les hanches, je me serais allongée sur le carrelage pour reprendre mon souffle et me calmer.
Et pendant tout ce temps, mon jeune amant continuait imperturbablement à faire aller et venir sa belle queue dans mon cul. Et puis, dun seul coup, il se mit à accélérer, en ahanant comme un bucheron, le rythme des va-et-vient. Il avait certainement compris que jétais devenue totalement passive : javais bien joui, et mon corps sétait mis au repos. Il voulait jouir à son tour. Il abandonna le silence qui, jusque là, avait accompagné le pilonnage de mon cul, et sétait mis à exprimer en arabe tout le plaisir quil prenait à menculer. Il disait quil adorait mon cul ! Quil nallait plus pouvoir sen passer ! Quil voudrait garder son zob enfoncé pour léternité dans mon anus ! Que son zob sy trouvait tellement bien ! Quil avait limpression quil y avait à lintérieur une main très douce qui le masturbait ! Quil adorait les culs comme le mien ! Aussi accueillants ! Aussi chauds ! Aussi doux ! Quil adorait mon fessier ! Que cétait sur lui que, jeune lycéen, il avait flashé ! Quil se masturbait toutes les nuits, en simaginant entrain de menculer comme cela ! Et
- Enmout alla tramek ! Trem kahloucha ! En-hab ki nikek hakdha melour ! Ou mazal en-3awed en-nikek men ga3rek ! 3acher marat ! Rahi djaïa ! (Jadore tes fesses ! Des fesses de négresse ! Jaime te baiser comme ça par derrière ! Et je te baiserai encore par lanus ! Une dizaine de fois ! Je vais jouir !)
Et je sentis tout le corps de mon jeune amant se raidir. Il enfonça ses ongles profondément dans la chair de mes hanches et arrêta sa respiration. Une seconde plus tard il explosa dans mon tunnel, en y propulsant ce qui lui restait de sperme - brulant et encore épais - que je sentais ressortir, comme pompé par lengin qui continuait à aller et venir dans mon boyau. Il alla se répandre sur le carrelage, en suivant la rainure de mes grandes lèvres. En même temps quil éjaculait, il poussait un long rugissement, qui rappelait celui du lion qui faisait savoir à ses congénères de la savane, quil venait de prendre possession de sa femelle et quelle nappartenait quà lui. Il continua encore un moment les va-et-vient furieux de sa belle queue dans mon cul, y éjacula encore ce qui lui restait de sperme, et saffala, exténué, sur mon dos. Il resta comme cela un long moment, son zob que je sentais mollir petit à petit, toujours planté dans mon anus.
Au bout de quelques minutes, il sortit son engin dentre mes fesses, se sépara de moi et sassit par terre. Il avait encore le souffle court et semblait avoir un peu de mal à reprendre complètement ses esprits. Tout comme moi dailleurs. Je quittais la position allongée sur le ventre, pour venir massoir en tailleur en face de lui. Je me souciais très peu de la position impudique dans laquelle la position en tailleur me mettait : javais la chatte ouverte et exposée au regard de mon homme. Madjid était visiblement fasciné par le spectacle. Il ne quittait pas des yeux mon entrecuisse, avec au centre, ma tirelire qui narrêtait pas de palpiter. Il avait le regard encore voilé par tout le plaisir quil avait pris avec moi depuis plus de deux heures maintenant. Il avait sur les lèvres le sourire, un peu figé, dun homme en pleine béatitude. Il navait pas besoin de prononcer des mots ou des phrases pour dire quil était heureux : je lisais sur son visage comme dans un livre. Ses yeux et son sourire hurlaient de bonheur : un bonheur tout nouveau pour lui. Celui davoir été un amant vraiment à la hauteur. Il mavouera beaucoup plus tard, quil avait été presque paralysé par la peur de mal faire. Et que sil était tombé fou amoureux de moi, cétait aussi parce que je lui avais permis dêtre un Homme, Un Vrai !
Pendant que lui ne quittait pas des yeux mon entrecuisse, moi je regardais avec curiosité son zob qui avait perdu sa rigidité et sa vigueur davant la sodo, mais qui, même au repos, avait gardé une taille impressionnante. De temps en temps il était parcouru de spasmes qui le faisaient sursauter comme sil cherchait encore à se mettre en érection. Il gouttait de sperme et, surtout, il était enduit dun liquide de couleur brunâtre, mélange de sperme et de sécrétions anales. Le tout brillait comme un miroir brunâtre (le zob de mon jeune amant était lui-même très brun) et recommençait à mettre mes sens en émoi. A la vue du spectacle du zob enduit de sperme et des sécrétions de mon rectum, une idée saugrenue traversa mon esprit, complètement perverti par les deux années dérotisme débridé que je venais de vivre avec mon mari et mes innombrables amants. Je venais de décider de nettoyer la verge de Madjid avec ma bouche.
Mon mari et quelques-uns de mes amants (presque tous, en réalité) avaient souvent exigé de moi après mavoir furieusement enculée - que je nettoie leurs zobs, devenus tout mous, avec ma bouche. Javais, dans un premier temps, détesté cela (cela sentait mauvais et le goût de mes excréments était détestable) mais il ne métait jamais venu à lesprit de refuser dobéir. Et petit à petit, javais fini par my habi et même par apprécier la chose. Je me dis donc que ce serait une bonne surprise à faire à mon jeune amant, qui navait certainement jamais été traité ainsi par une fille ou une femme, et qui ne devait même pas imaginer quune chose pareille pût se faire. Jétais sûre quil allait apprécier. Et quil allait maimer encore plus ! Et quil ne voudra plus jamais se séparer de moi ! Je voulais lui montrer que jétais vraiment une femme exceptionnelle avec laquelle il sera toujours très heureux et qui lui procurera, sa vie durant, tout le plaisir sexuel quune femme pouvait lui donner. Dans ma tête javais déjà décidé que Madjid deviendra mon amant de cur attitré.
Je lui demandais de se mettre debout devant moi. Il le fit avec un peu de crainte, ne sachant pas trop ce que je préparais. Je me mis à genoux devant lui et attrapai, avec deux doigts, la base de son zob ramolli, mais qui continuait à avoir des spasmes involontaires. Javançais la tête vers son bas-ventre, sortis la langue et me mis à lécher avec soin le gland, duquel sortaient encore quelques gouttes de sperme. Puis je fis courir ma langue, avec beaucoup dapplication, tout le long de la hampe, en faisant de nombreux allers-retours entre la base du zob et le gland. De temps en temps, je levais la tête pour voir comment Madjid prenait la chose. Au début, je lisais dans ses yeux de létonnement (peut-être même du dégoût, pensai-je un moment) et puis je le vis sourire et se mettre à pousser de petits gloussements de contentement. Il adorait !
Il adorait tellement que je vis sa queue pourtant bien fatiguée par les efforts quelle avait fourni depuis plus de deux heures se mettre à frétiller et à se réveiller lentement, jusquà atteindre sa taille de combat. Il bandait très fort, pendant que je continuais mon uvre de nettoyage. Elle avait repris toute sa vigueur de tantôt. Je sentais quil voulait me lenfoncer dans la bouche. Il poussait, avec plus de douceur et moins de brutalité que tout à lheure, son bassin vers lavant, comme pour me demander douvrir toute grande ma bouche, pour y faire pénétrer son engin. Mais moi je ne voulais pas quil me baise par la bouche. Je voulais quil me défonce la chatte.
- Machi mel-foum ! Men hatchouni! Dakhel hou-li begari! (Par par la bouche! Par ma chatte ! Enfonce-le moi en levrette !)
Sans attendre sa réponse, je me levai et allai me positionner à quatre pattes en travers du fauteuil. Je relevai le plus haut que je pus mon fessier et pour le mettre à la bonne hauteur. Je voulais quil me baise en restant debout. Cétait pour moi un gage quil allait me tirer en force et quil allait encore une fois me faire sentir toute la puissance de sa verge. Je tournai la tête pour lui ordonner de me tirer.
- Kesser-li hatchouni! Dekhal zebek bel-qouwa! Zid nik Warda! Warri-lha qouwat zebek ! (Démolis-moi la chatte ! Enfonce ton zob en puissance! Baise encore Warda ! montre-lui la puissance de ton zob !)
Et il me baisa ! Comme il savait si bien le faire ! En force et en puissance ! Et il me fit jouir une fois de plus. Et lui aussi eut un orgasme. Il est vrai que la jouissance que nous eûmes tous les deux, navait pas lintensité des précédentes. Ni lui, ni moi navions la forme olympique. Ce fut une jouissance douce et tranquille. Une jouissance qui nous donna à tous les deux, lenvie de nous reposer dans le bras lun de lautre. Et de nous endormir.
Nous nous étions assoupis un moment sur le fauteuil. Je suis incapable de dire combien de temps. Je me levai la première et réveillai mon jeune amant. Je lemmenai dans la salle de bain pour que nous y prenions une douche froide qui nous remettra daplomb. Il mavait dit quil était temps quil retourne à son travail. Ses employés devaient sinquiéter de sa trop longue absence. Ils savaient très bien que linstallation dun ordinateur ne prenait pas autant de temps. Moi je voulais le garder encore un moment avec moi. En fait jaurai souhaité quil reste à la maison jusquà larrivée de Salim, mon mari. Je voulais quils fassent connaissance et que Madjid apprenne de la bouche de mon mari qui savait dire les choses beaucoup que moi comment notre couple vivait sa sexualité. Il mexpliqua quil devait absolument partir, mais quil aimerait revenir tous les jours.
Il me dit quaprès ce qui sétait passé entre nous, il ne pouvait plus imaginer la vie sans moi. Quil était sûr quil était tombé follement amoureux de moi. Il prétendait même quil avait toujours été amoureux de moi. Depuis sa première année de lycée. Depuis que javais été son professeur darabe. Jétais vraiment heureuse dentendre quil voulait continuer davoir des relations ave moi. Cétait exactement ce que je voulais. Certes, il était encore très jeune ; mais cela mimportait peu. Au contraire, je me disais que parce quil était jeune et quil était très doué pour lamour il ne pouvait que saméliorer encore et me donner toujours plus de plaisir. Mais je ne voulais pas quil parte avant que je ne lui dise quelques mots sur notre mode de vie à Salim et à moi. Je ne savais pas trop comment my prendre.
Javais peur de le scandaliser, en lui avouant que javais eu beaucoup damants ; et avec la bénédiction de mon mari. Je savais que la morale ambiante ne pouvait pas accepter ce mode de vie immoral. Et plus que cela, rares étaient les hommes qui pouvaient accepter de partager leurs femmes. Ce ne pouvait pas être des hommes normalement constitués : des cocus qui ignoraient quils avaient des cornes, le monde en recélait des grandes quantités. Mais des cocus assumés, il était impensable quil pût en exister ; surtout dans un pays comme le nôtre. Jétais convaincue que Madjid, qui nétait pas un intellectuel, serait incapable de comprendre et daccepter ce que jallais lui avouer. La seule école quil ait connue, cétait lécole fondamentale. Une école à base didéologie islamiste, qui na produit, depuis quelle avait remplacé lécole rationaliste qui existait auparavant, que du puritanisme de plus en plus exacerbé. Javais vraiment peur de sa réaction. Je ne voulais pas perdre aussi vite un amant aussi exceptionnel, que je venais à peine de connaître. Je me lançais tout de même, en lui parlant de mon mari.
Je lui dis que quand jannoncerai à Salim, que javais fait la connaissance dun jeune homme vraiment exceptionnel, il allait en être très heureux. Je vis immédiatement de lincompréhension dans les yeux de mon jeune amant. Il pensait avoir mal compris ce que je venais de lui dire.
- Tu vas dire à ton mari que tu as reçu à la maison un technicien en informatique qui ta aidée à installer ton nouveau PC ? Je pense quil sera mécontent et jaloux.
- Non je lui raconterai ce qui sest passé entre nous.
- Tu es folle ! Il va te ! Et il cherchera à me aussi !
- Non, il en sera très heureux !
- Je ne comprends rien ! Tu veux dire que ton mari sera heureux dapprendre que tu las trompé ave moi ? Ce nest pas possible ! Tu te moques de moi !
- Non ! Ecoute-moi bien : Salim nest pas comme les maris traditionnels. Il maime avec passion et ne pourra jamais se séparer de moi. Et plus que tout, il veut que je sois la femme la plus heureuse du monde. Il connait mon goût immodéré pour le sexe. Il adore que je prenne du plaisir entre ses bras, et même entre les bras dautres hommes. Cest lui qui ma procuré mon premier amant. Et il a été aussi heureux que moi de limmense plaisir que javais pris entre ses bras. Quand je lui ai raconté tout ce que javais ressenti sous les coups de boutoirs de mon amant, il en avait été aussi excité quun bouc. Et il mavait fait lamour comme un taureau.
- Cest complètement fou ! Et tu lui raconteras ce que nous venons de faire tous les deux ?
- Bien entendu ! Et il me fera lamour toute la nuit en mécoutant lui raconter tout le bonheur que jai pris dans tes bras ! Tu es scandalisé ?
- Je suis surtout étonné. Je naurais jamais imaginé quune chose pareille pouvait exister chez nous ! Jai bien vu cela dans des films occidentaux et dans beaucoup de films érotiques et pornographiques, mais pour moi, ce nétait que de la fiction.
- Dis-moi que tu nes pas scandalisé et que tu reviendras ! Je ne veux pas te perdre ! Je veux te présenter à mon mari. Tu verras, vous allez vous entendre très bien. Il te plaira beaucoup. Dis-moi oui !
Madjid resta un long moment silencieux. Son silence me mettait sur des charbons ardents. Je le devinais qui réfléchissait et qui essayait de comprendre la situation. Je le devinais qui pesait le pour et le contre : dune part, il pensait sincèrement quil était tombé amoureux de moi et quil ne voudrait à aucun prix que notre relation cessât, au moment même où elle avait commencé. Il avait aussi tellement pris de plaisir entre mes bras, quil voulait que cette situation de bonheur sexuel, devienne permanente. Dun autre côté, il imaginait mal une relation sous la surveillance dun mari complètement barjot et anormal. Et puis, il nétait pas du genre partageur. Il pouvait à la limite accepter que je baise avec mon mari, pour la forme et pour quil nait pas de soupçons quant à mon infidélité; mais il accepterait très mal, que sa maîtresse prenne du plaisir avec un autre homme que lui ; fût-il son mari ! Jen étais là à supputer tout ce qui lui passait par la tête, le cur serré dans un étau dangoisse, quand il se mit à parler.
- Je reviens demain ! Mais je ne veux pas encore rencontrer ton mari. Je veux te connaître un peu plus intimement et que tu me parles de ton mari et de toutes vos aventures. Je suis dune nature jalouse et je naime pas partager. Je ne crois pas que cela pourra marcher entre nous, si tu continues à avoir des amants.
Je ne dis rien, mais en mon for intérieur je jubilais. Javais gagné. Madjid acceptait de revenir et de continuer dêtre mon amant. Je savais maintenant que jallais finir par le convaincre de vivre intensément la vie que nous menions Salim et moi. Il suffisait juste dun peu de temps pour le convaincre.
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